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« Il y a bien longtemps avant même que les gens n'habitent dans le ciel. Une guerre terrible éclata entre les hommes et une Déesse malfaisante. Après des combats sanglants, nos ancêtres aidés de Dieu scellèrent le pouvoir de cette Calamité. Puis quittèrent la terre souillée et stérile pour construire leur avenir dans le Ciel. »
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{ Wade & Poe || Wade Jones
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Invité

Wade & Poe || Wade Jones, par Invité ► 28/2/2018, 22:04 ►



Wade Jones
Nom :Jones
Prénom : Wade
Âge : 25 ans
Date de naissance : 21/10
Bénédiction : Bourgeon
Orientation : Homosexuel
Région : Majoris
Métier : Mécanicien

caractère
Wade est... C'est quelqu'un de plutôt sympa, dans le fond. Gentil, mais un peu trop franc, peut-être. Enfin, je ne suis pas sûr que la franchise, dans son cas, soit une qualité. C'est toujours compliqué de donner le caractère de quelqu'un. On se perd, on trouve quelque chose à dire, puis on se rend compte qu'en réalité, ce terme ne le définit qu'à moitié, voire même pas du tout. Car il est difficile pour l'être humain d'appréhender toutes les facettes complexes de leurs propres personnalités. Mais si je devais vraiment choisir un mot pour le définir, je dirais qu'il est unique. Comme tout un chacun, bien sûr. Mais si vous le rencontrez un jour, vous comprendrez non sans mal pourquoi je le qualifie ainsi. Il possède tant de qualités et tant de défauts que je ne pourrais pas vous les énumérer. Le plus simple est peut-être de donner des exemples, j'arriverais sans doute mieux à vous faire comprendre qui il est.

Il est assez sensible pour être triste, par exemple, devant un animal blessé ou un animal mort. Mais pas assez pour être attristé de voir quelqu'un pleurer la mort d'un proche. Il est simplement incapable de montrer ses sentiments, véritable handicapé émotionnel. Il ne pleure plus depuis bien longtemps et dans les situations qui l'exige, il se contente d'une grimace censé représenter ses émotions. C'est généralement bien plus gênant que s'il pleurait pour les autres, mais il est incapable d'agir autrement. Parfois, il se trouve monstrueux de ne plus verser de larmes lorsqu'il le faudrait, ou quand il est incapable d'éprouver une très grande tristesse aux occasions qui le nécessite. En fait, sans doute ne se rend-il pas compte lui même qu'il à une sorte de blocage à ce niveau.

Il sait aussi parfaitement éviter les sujets qui le mette mal à l'aise, d'une magnifique pirouette lexicale. Tentez de lui demandez s'il se sent triste lorsqu'il l'est réellement et vous vous retrouverez à parler de son dernier repas ou d'une conquête amoureuse. Il est capable d'aborder absolument n'importe qui sans aucune gêne ou angoisse et sans même s'en rendre compte, il se retrouve parfois emporté dans de grandes conversations qu'il aura lancé mais qui finiront très vite par le lasser. Et s'il s'ennuie, il peut devenir vraiment très chiant pour s'occuper. Il n'a pas honte de dire à quelqu'un droit dans les yeux qu'il le trouve emmerdant à mourir, simplement car si on le lui disait, cela ne le vexerait pas le moins du monde. D'ailleurs, sur ce point aussi, il est particulier. Une personne pourrait parfaitement lui dire les plus monstrueuses choses au monde qu'il ne s'en porterait pas moins joyeux alors qu'une autre personne pourrait, par mégarde, avoir un petit mot de trop et tout de suite il partirait au quart de tour. Wade est difficile à comprendre, très difficile.

Il aime que l'on dise de lui qu'il est sympathique et soucieux des autres, il adore encore plus lorsque quelqu'un va lui dire qu'il n'est qu'une enflure. Car Wade ne se soucie nullement du regard et de l'avis des autres. Il se fout royalement des autres et de leurs jugements et lui-même ne juge jamais personne. Il apprécie pas mal de monde mais ne s'attache presque à personne. Comme ça, il n'est jamais déçu des autres. Il est parfaitement capable de passer beaucoup de temps avec une personne et, si cette personne vient à le décevoir ou à lui faire une quelconque crasse, à juste passer à autre chose, sans même demander d'explications. Il n'en a pas besoin, il sait pertinemment que le monde est ainsi fait et que l'être humain n'est pas vraiment fait pour s'entendre avec tout le monde. D'ailleurs, il s'amuse souvent à dire, lors d'une première rencontre, qu'il est une vraie tête de con sur le ton de la plaisanterie. Comme ça, si un jour il en vient à se faire insulter, il précise juste, dans un infini sourire, qu'il l'avait toujours dit. De fait, c'est un jeune homme qui, s'il sait se faire des amis, arrive encore plus facilement à se faire des ennemis. Enfin, ennemis... A ses yeux, personne n'est vraiment son ennemi. En fait, il classe les gens en deux catégories. Ceux qu'il apprécie, et ceux dont il n'a rien à foutre. Et il garde une troisième catégorie un peu plus secrète, la catégorie des sombres connards. Attention, pour être dans cette catégorie, il faut généralement faire très fort, ou s'en prendre à ses amis les plus proches. Et les sombres connards, il les méprise au point de nier jusqu'à leur existence même. Et il ne se gêne pas pour le leur dire, par ailleurs.

Car il n'a aucune retenue, ne sait jamais quand s'arrêter. Il n'a pas peur des autres, donc il n'a aucun problème à se faire casser la gueule. Parlons en, des cassages de gueules. Car si les sombres connards, généralement ce sont eux qui ont réussi à passer dans cette catégorie, ceux dont il n'a rien à foutre, c'est lui qui les a exaspérer. Car il sait se montrer insultant, même s'il ne s'en rend pas compte. Il est blessant et odieux mais ne réalise pas vraiment qu'il l'est. Donc très souvent, il créé des tensions, des bastons de bar débiles et sans intérêts. Et dans ce genre de situation, il est juste imprévisible. Parfois, il va se laisser faire et ne faire que le strict minimum pour se défendre, prétextant qu'il n'apprécie pas se battre quand d'autres fois, il sera le premier à frapper et à se montrer presque posséder. Si d'un point de vue extérieur, il est compliqué de comprendre ce point de la personnalité de Wade, si on se penche un peu plus sur le personnage, c'est en fait très facile. S'il mérite réellement de se faire frapper, qu'il a été un débile fini, il se laissera faire. S'il n'a absolument rien fait et qu'il estime que le type d'en face va trop loin, il se laisse aller. Il se connait et sait parfaitement qu'il peut être vraiment très con, c'est sa façon à lui d'expier pour ses fautes. Il a aussi tendance à vouloir défendre la veuve et l'orphelin et de fait, il s'attire un peu trop souvent des ennuis qu'il aurait pû éviter à la perfection.

Wade est vraiment spécial, parfois heureux pour tout, parfois agacé pour rien. Mais une chose est sûre à son sujet. Pour ses amis, les vrais, les rares, il est toujours là pour eux. Car ils sont toute sa vie et tout son être. S'il ne pleure pas, il se montre parfois mélancolique et se perd dans ses pensées. Dans ce genre de situation, il est difficile de lui être d'un grand secours car il ne parle jamais de lui ou de sa vie dans le détail. Car les anecdotes idiotes ou les évènements sans trop d'importance, il ne se prive pas d'en parler à tout le monde. Mais son histoire, ce qui a fait de lui cet être si particulier, c'est un secret car personne ne connaît son passé. Et il reste persuadé que jamais personne ne le connaîtra.
histoire
C'est à Majoris que Wade a vécu l'intégralité de sa vie. Né là-bas et élevé là-bas, il est un pur produit de la ville. Il a toujours connu le brouhaha incessant de la capitale et n'est pas réellement sûr qu'il saurait s'en passer. Il est né de deux parents qu'il n'a jamais connu, emporté tous les deux par la maladie alors qu'il était nourrisson. Un épisode triste de sa vie ? Oui et non. Car si vous le lui demandez, Wade vous dira, d'un air plutôt pragmatique, qu'ils ne les connaissaient pas et de fait, ce fut bien moins dur pour lui de perdre ses parents que pour beaucoup d'autres orphelins. Beaucoup autour de lui ont pensé, lorsqu'il a dit cela la première fois, qu'il était un garçon en or, capable de réprimer sa propre tristesse pour partager celle des autres et d'autres termes tous plus mièvres les uns que les autres. En réalité, Wade n'a jamais souffert de l'absence de ses parents. Il n'a jamais eu l'occasion d'en avoir et il a construit tout son être de cette façon, en se servant d'autres figures d'autorité pour élaborer pièce par pièce sa personne.

Les trois premières années de sa vie furent sans doute ses plus difficiles, passant de foyer en foyer aurpès tous les proches de ses parents sans jamais s'arrêter bien longtemps, avant de finir par se retrouver dans un orphelinat. Une chance pour lui qu'il n'ait gardé aucun souvenir de cette période, par ailleurs, il ignore même avoir vécu dans sa famille proche durant cette période. Il est même persuadé n'avoir plus aucune famille. C'est donc entouré d'enfants aux mêmes circonstances qu'il a grandit et qu'il s'est forgé, s'habituant plutôt rapidement à toute cette peine qui habitait les lieux sans pour autant jamais pleurer, ni même se sentir triste. Le personnel de l'orphelinat, c'était sa famille, il les adorait plus que n'importe qui. Il participait activement à toutes les activités possible et inimaginable, juste pour passer un peu plus de temps avec eux, jusqu'à ce qu'il soit assez grand pour être capable d'aider comme il le pouvait dans l'établissement. La cuisine, le linge, le ménage... Dès qu'une occasion se présentait, il apportait son aide aux autres, autant pour rendre service que pour passer plus de temps avec eux. C'est d'ailleurs à cette époque que tout le monde put constater qu'il était particulièrement doué avec la mécanique et la technologie, capable de comprendre le fonctionnement d'appareil sophistiqué sans le moindre mal. A ses dix ans, il était devenu l'enfant de tous les employés à la fois et chacun appréciait sa façon d'être, sa spontanéité, sa franchise à toute épreuve et son aptitude incroyable à dire tout ce qui lui passait par la tête, sans aucun filtre. Dès qu'un nouveau venu franchissait les portes de l'orphelinat, Wade passait tout son temps avec lui afin de lui expliquer le fonctionnement des lieux, de lui remonter le moral s'il le fallait et lui permettre de passer au plus vite à autre chose. Plus qu'un acte de charité, c'était plutôt son incompréhension qui le faisait agir ainsi. Il avait du mal à concevoir que l'on puisse être triste à l'idée de venir dans ce foyer si chaleureux, lui qui avait toujours été heureux ici.

C'est à l'adolescence que les choses se compliquèrent un peu plus. Enfin, vraiment un peu plus. Il était devenu un véritable ado, avec les crises et le comportement qui allait avec. Cela ne l'empêchait pas d'aider, bien sûr, surtout qu'il adorait passer du temps à bricoler et à réparer toutes les machines qu'il pouvait trouver, du simple grille-pain au lave-linge déjà bien plus complexe. Mais en tant que bon ado, il râlait, boudait pour un oui et pour un non. C'est aussi à cette période que la cohabitation avec les autres pensionnaires devint plus difficile. Petit à petit, il devenait jaloux de l'attention que les autres recevaient alors que lui en avait de moins en moins. En un sens, les employés voyaient parfaitement que Wade était heureux et qu'il avait moins besoin de soutien que les autres enfants et par obligation, ils en vinrent à le délaisser un peu pour apporter réconfort et soutien à tous ceux qui en avait plus besoin. La jalousie fut telle que ce qui n'étaient initialement que de simple tensions finirent par éclater en bagarres violentes et propos toujours de plus en plus blessants. C'est l'arrivée d'un nouveau pensionnaire qui réussi à calmer Wade, sans vraiment lui laisser le choix. Un jeune homme de quinze ans à l'époque, un peu près du même âge que lui. Dès le début, Wade ne l'avait pas apprécié, car sans savoir pourquoi, tous les regards se tournèrent vers lui et uniquement lui. De fait, dès son arrivée, le jeune homme s'était montré odieux envers ce nouveau dont il ne connaissait même pas le prénom. Il n'avait même pas envie de lui donner ce plaisir que de le reconnaître comme un être à part entière. Par un affreux coup du sort, ils se retrouvèrent à partager la même chambre. Forcément, Wade avait prévu de lui faire vivre un enfer. Sauf que rien n'arrivait à entamer l'éternel sourire de ce garçon, rien ne le faisait sortir de ses gonds. Une bonté à toute épreuve, qui faisait que chacun l'appréciait de plus en plus. Et Wade, parfaitement conscient qu'il était en tort, en vint à le haïr de plus en plus, encore incapable de reconnaître que le problème venait de lui et de son égoïsme. Alors, ce qui devait arriver arriva. Il lui pourri tellement la vie qu'un jour, fatalement, le sourire tomba et les deux jeunes gens commencèrent à se battre. Violemment. Les coups comme les insultes volèrent en tout sens, sans que personne ne puisse les faire stopper. Et c'est ainsi, les deux adolescents au sol, que Wade craqua pour la première fois de sa vie. Sans comprendre, il ne pouvait plus que pleurer, face à des adultes décontenancé de la situation. L'autre jeune homme, dont Wade ne connaissait toujours pas le prénom, se redressa alors et demanda aux employés de l'orphelinat de les laisser seuls un instant. Et ce fut lui qui réconforta celui qui venait de le tabasser, qui prit la peine de l'écouter durant des heures et des heures. Et après cela, Wade et Valentin devinrent simplement inséparable.

Ils passaient le plus clair de leurs temps ensemble, ils riaient de tous, se disputaient souvent et parfois même se battaient, mais ils finissaient toujours par se réconcilier en quelques minutes à peine, comme s'ils peinaient à survivre l'un sans l'autre. Ils passèrent ainsi deux années à devenir plus proches l'un de l'autre, à s'échanger leurs rêves et leurs espoirs et à effectuer leurs futurs plan de vie. Le chemin était d'ailleurs tout trouvé, à leurs dix-huit ans, ils quitteraient l'orphelinat et à deux, ils trouveraient un petit logement à louer et grâce au talent inné de Wade dans la mécanique, ils pourraient économiser pour pouvoir vivre une vie de rêve. Des idylles d'enfants plein d'espoir en leur avenir. Mais bien vite, l'état de santé de Valentin commença à décliner, d'abord lentement, puis à une vitesse ahurissante. Rien ne semblait pouvoir le soulager de la douleur qui le rongeait peu à peu. Wade, d'abord très positif quant à l'état de son ami, persuadé qu'il s'en remettrait vite, se mit à s'inquiéter au bout d'un mois. Puis ce fut un état de panique qui gagnait rapidement du chemin, tandis que Valentin, lui, semblait ne pas s'en faire. Ce fut au bout de quatre mois qu'enfin, il lui expliqua la raison de ce calme étrange. Il souffrait d'une maladie génétique, du genre de celle impossible à guérir et qui condamnaient ceux qui en souffraient à une mort jeune. Valentin le savait depuis des années déjà, mais il avait demandé à tous ceux au courant de garder ce fait secret. Il voulait profiter du temps qu'il lui restait sans qu'on le plaigne en permanence. Wade eut beaucoup de mal à accepter le fait que son ami proche ne décède si brutalement, mais par égard pour lui, dès qu'il fut au courant de la nouvelle, il cessa aussitôt de lui montrer son inquiétude afin de se comporter avec lui comme il l'avait toujours fait, sans pour autant l'épargner. Puis, le jour de ses dix-huit ans, le jour où ils auraient dû partir vivre leurs rêves, Valentin poussa son dernier souffle. Ce fut la deuxième fois que Wade pleura dans sa vie, des sanglots qui semblèrent durer une éternité.

Plusieurs mois plus tard, Wade avait finalement quitté l'orphelinat et s'était installé au centre de Majoris, dans un studio qu'il parvenait à payer sans grande difficulté grâce à ses petits boulots de réparateur. Il avait pris avec lui l'intégralité des affaires de son ami disparu, ne parvenant pas encore à faire son deuil. Depuis son départ, il avait compris que les sentiments qu'il éprouvait à son égard était bien plus qu'une simple amitié et les remords le rongeait depuis lors, regrettant de ne pas l'avoir remarqué plus tôt. Car il avait aussi fini par comprendre que Valentin aussi éprouvait plus que de l'amitié pour lui, il l'avait compris en triant ses affaires, en découvrant les photos qu'ils avaient pris ensemble et les annotations en bas de ces dernières. Un soir, en se replongeant encore une fois dans les affaires de son ami, il découvrit un petit coffre qu'il n'avait pas remarqué avant, un coffret petit dans lequel se trouvait une pierre magnifique et une lettre. Signée de Valentin, dans laquelle il demandait pardon d'avoir caché sa maladie si longtemps et bien d'autres choses sans réelle raison. La pierre, elle, semblait être un dernier cadeau de sa part. Et quand Wade la prit entre ses doigts... En réalité, il ne se souvient plus vraiment de ce qui s'est passé à ce moment là. Il se souvient juste qu'il a ouvert les yeux et que, fasse à lui se tenait une grande masse blanche à l'aspect familier. La créature se présenta en tant que Poe et enfin, Wade comprit. Son ami lui avait trouvé une Earendil. Il semblait persuadé que Wade était capable d'en éveiller le potentiel, bien qu'il n'en ait absolument aucune preuve. Et le jeune mécanicien, lui, prit cette rencontre comme la fin d'une vie et le début d'une autre. Il saurait faire bon usage de ce don que son aimé disparu lui avait offert.
anecdotes
Poe possède le même physique qu'un personnage que Wade et Valentin avait inventé et que Valentin prenait plaisir à dessiner presque tout le temps — Wade déteste les sucreries — Il fume sans doute un peu trop — Il a un tatouage sur les côtes, en hommage à Valentin — Il va sans cesse aider à l'orphelinat dans lequel il a grandi, sans contrepartie — Étrangement,
c'est un fin cordon bleu — Il est passionné de mécanique et de technologie — Il a besoin de lunettes pour lire — Même s'il est loin d'être le meilleur, il aime dessiner et pratique souvent — Ses yeux sont verts — Il est particulièrement nul avec les enfants — Il adore les animaux — Il triture ses cheveux quand il réfléchit — Il fait beaucoup d'exercice pour conserver sa silhouette — Il adore qu'on lui touche les cheveux mais ne l'avoue jamais — C'est un citadin pur et dur — Il adore bricoler tout ce qui lui passe sous la main — Il a déjà tenter de créer de nombreuses inventions — Mais il s'est souvent loupé — C'est un grand romantique qui ne s'assume absolument pas — Il a peur des orages — Il est chatouilleux








Poe
Nom :Poe
Pouvoir : Bulles
Arme : Un couteau militaire
Sexe : Masculin
Genre : Fantastique
Âge : 7 ans
Opinion : Poe à tendance à comparer Wade à un éternel enfant qui refuse de grandir et qui à un éternel besoin d'attention et de réconfort. Et il adorerait lui accorder toute cette attention qu'il demande, mais, s'il arrive à aller facilement vers les autre, Poe à beaucoup de mal à aller vers son humain. Il lui semblerait presque qu'à chaque regard que lui porte Wade, il peut lire dans ses yeux de la tristesse.
Calme — Posé — Réfléchi — Tout rond

Apathique — Ne comprend pas l'humour — Distrait — Calme








derrière l'écran
ON M'A TRAÎNÉ ICI DE FORCE !!! Sinon moi c'est Eiliant mais Wade c'cool aussi, j'ai subi les affres des fondas tout le long de la création du forum et je prends mes cookies en perf', plus rapide. ♥️






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Wade & Poe || Wade Jones, par Invité ► 1/3/2018, 21:41 ►
bienvenue ô jeune aventurier !

Hola camarade ! En voilà un personnage peu commun, mixer Nyx avec BayMax, je crois que cela est un mélange de folie et de génie ! J'ai hâte de voir ce duo vivre de belles aventures sur Caelum ! Sinon que dire d'autres, ta fiche est très bien, il n'y a aucune incohérence, aucune raison de t'embêter. Tu peux dès à présent recenser tes avatars (www), créer ta fiche de lien (www), et rechercher un Rp (www) !

Que l'aventure soit avec toi !



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