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« Il y a bien longtemps avant même que les gens n'habitent dans le ciel. Une guerre terrible éclata entre les hommes et une Déesse malfaisante. Après des combats sanglants, nos ancêtres aidés de Dieu scellèrent le pouvoir de cette Calamité. Puis quittèrent la terre souillée et stérile pour construire leur avenir dans le Ciel. »
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Invité

We will either find a way or make one [100%], par Invité ► 27/7/2018, 11:50 ►



Yuri Corvidae
nom :corvidae
prénom : yuri
âge : 24 ans
date de naissance : 06/11
bénédiction : bourgeon
orientation : homosexuelle
région : née à Idye
métier : exploratrice

caractère
Yuri, c’est une personne qui a de l’ambition, qui a des rêves et qui a bien envie de les réaliser. Elle veut faire une différence, aime sentir son impact dans la vie des gens et, même, dans la vie en général. On la dit déconnectée de la réalité, idéaliste, à cause de ça. Elle a trop d’optimisme, selon certains. Comme une enfant qui n’a pas encore apprit que les choses ne se terminent pas toujours bien et que la bonne volonté ne suffit pas toujours. Que nenni, leur répond-t-elle. La demoiselle aux cheveux bicolores n’est pas empreinte d’une naïveté ou d’une innocence particulière, ce serait là une simplification grossière de son personnage. La vérité, c’est que Yuri a envie de vivre dans un monde où l’on peut tout accomplir, à condition d’avoir la bonne attitude. Elle refuse de baisser les bras et de perdre espoir car, selon elle, le fatalisme est la fin de la vie.

Cela l’empêche-t-elle d’avoir ses moments de cynisme ou de sarcasme ? Pas du tout. Comme beaucoup d’autres, Yuri possède sa part de noirceur et, de temps en temps, aime bien l’embrasser de façon exagérée, théâtrale et, selon elle, fichtrement amusante. Excentrique ? Disons qu’elle a ses moments. Au moins la bicolore sait prendre du recul, hausser les épaules et rire un bon coup. Elle sait arrêter de se prendre, elle-même ou ses problèmes, au sérieux, ce qui a le don de surprendre et de déstabiliser les membres de son entourage. D’ailleurs, ces derniers ne sont pas au bout de leurs peines avec Yuri. Celle-ci déteste perdre et, depuis toujours, a la fâcheuse tendance à se mettre au premier plan. Un peu égoïste ? Ça lui arrive ouais, la majorité du temps. Elle est confiante, charismatique, et n’aime guère respecter une hiérarchie juste parce que c’est ce que tout le monde fait. Elle aime poser des questions, se faire ses propres opinions et prendre ses propres décisions pour sa vie, quitte à parfois rejeter les suggestions des gens qui l’aiment d’une façon que peu considéreraient comme amicale.

Oh, bien sûr, si elle vous estime, il se peut qu’elle écoute vos idées, reste silencieuse pendant vos interventions. Mais Yuri est une personne de tête, un individu qui manifeste l’estime qu’elle a pour vous en prenant le temps de pointer la moindre petite faille dans vos arguments. On a alors l’impression qu’elle fait sa difficile, qu’elle refuse de coopérer ou de se la fermer, mais c’est sa façon de montrer que vos paroles sont importantes. Si un proche a besoin d’elle, la bicolore demeure fidèle à elle-même. L’affection et les platitudes ne lui viennent pas facilement : elle préfère de loin trouver des solutions concrètes et vous aider à passer à autre chose. Et, bien sûr, ses difficultés à l’empathie se font bien souvent sentir dans ces situations tendues qui demandent délicatesse et compréhension. Si elle-même a des problèmes ? Yuri ira s’isoler et repoussera tous ceux qui voudraient à leur tour la réconforter à coup de paroles qui sont, de son point de vue, vides de sens. Rarement, voir jamais, ne viendra-t-elle se plaindre de quelque chose de sérieux. Bon, par contre, si c’est une connerie vous pouvez être certains qu’elle va vous casser les oreilles. Elle s’est cassé un ongle ? Il ne reste plus de cookies ? Elle a une vilaine ampoule sur le pied qui l’empêche de marcher ? Préparez-vous à l’entendre gueuler.

Mais après tant de défauts, pourquoi continuer de parler à Yuri ? Que peut-on retirer de sa présence qui semble, au premier abord, assez désagréable ? Si l’on prend la peine d’ignorer sa voix forte et ses petits caprices, c’est par ses actes que l’on découvre vraiment l’exploratrice. La vérité, c’est que Yuri est plus loyale et fidèle que quiconque. Elle n’aime pas baisser les bras et aime faire rire de par son excentricité pour remonter le moral des autres, même quand elle n’est pas au meilleur de sa forme, parce que ça la rend fière. Elle a le cœur pur et exècre le mensonge et la violence gratuite. C’est une personne vraie, rayonnante bien qu’imparfaite. Qu’est-ce que ça change, au fond, même si elle rote après un bon gros repas et qu’elle vous insulte pour vous ramener sur le droit chemin ? L’important, c’est que Yuri fini toujours par revenir, par se donner à fond pour ceux qui comptent pour elle. Sans cesse elle pardonne, elle offre une autre chance, elle encourage. Parce qu’elle veut réussir et que, surtout, elle veut que les gens qui l’entourent réussissent aussi. Elle sait que tous ne le méritent pas, elle sait que la vie c’est parfois de la merde et que plusieurs croient qu’elle est bête, mais ça ne compte pas. Pour Yuri, tout ce qui compte, c’est l’avenir. Ce qui peut encore être accompli.

histoire
Idye, le nord, là où se déroulent tous les plaisirs. C’est en ce lieu que naquit Yuri, une enfant dont personne ne voulait. La mère, une prostituée, n’avait ni l’envie, ni les ressources, pour élever une gamine. Elle alla donc trouver le père, le propriétaire respecté d’un bar populaire, là où les gens aimaient aller boire et se rencontrer dans l’arrière-boutique pour effectuer quelques petites transactions de substances illicites. Bien évidemment, lui non plus n’en avait que faire de cette enfant, mais il accepta tout de même de la prendre chez lui. Entendez par là qu’il accepta de la laisser résider dans le petit appartement au-dessus du bar et que les serveuses allaient devoir se relayer pour prendre soin de cette nouvelle « cliente ».

Son enfance ne fut pas déplaisante, seulement pas idéale. Néanmoins, les employés de son père se prirent d’affection pour la gamine et, ainsi, Yuri ne fut pratiquement jamais laissée à elle-même. L’avant-midi, le barman lui dispensait quelques petits cours d’histoire, ajoutant par-ci par-là d’autres connaissances plus ou moins pertinentes. Dans l’après-midi, elle tentait de donner un coup de main aux serveuses, pour préparer le service du soir. On n’osait pas la chasser, cette petite bouille enthousiaste et sympathique. Le soir, toutefois, c’était l’arrivée du patron. Le père de Yuri disposait d’une autre habitation, plus confortable, dans un coin huppé de Bara. Jamais il n’autorisa la bicolore à y aller pour la simple et bonne raison qu’il y vivait avec sa femme et leurs enfants. Lorsqu’il était sur place, il se contentait de vérifier que tout était en ordre, de mettre son nez dans les inventaires et de chasser Yuri, lui ordonnant de retourner à l’étage avant l’arrivée des clients. Déçue, elle s’exécutait toutefois et peinait à trouver le sommeil, tenue éveillée par les bruits du bar.

Parfois, elle se faufilait en bas, par curiosité. Il lui suffisait d’attendre une heure ou deux, histoire que les gens aient commencé à boire juste assez pour ne pas questionner sa présence. Au début elle restait cachée dans l’escalier, écoutait les conversations de loin. Ses préférées mettaient en scène son père. Éméché, l’homme se permettant de boire avec les clients et de leur faire la jasette, il devenait bien moins strict. Il racontait des histoires incroyables et son charisme rayonnait dans tout l’établissement. Si seulement il agissait ainsi avec elle. Si seulement il lui offrait un peu d’attention. Elle devait trouver un moyen de se faire remarquer. C’est ce qui motiva Yuri à apprendre la musique. Les employés qui étaient, avouons-le, sa véritable famille, se montrèrent enchantés de la voir développer un intérêt de ce genre. Devenir musicien, à Idye, était un bon choix de carrière après tout. Ils décidèrent donc de tous mettre la main à la pâte et, ensemble, offrirent à Yuri son premier violon.

À l’âge de quinze ans, on l’autorisa enfin à se joindre aux serveuses. C’était le moment, l’heure de gloire, ce qu’elle avait attendu depuis si longtemps. Quelle déception lorsqu’elle découvrit les vrais tenants et aboutissants du métier. Les hommes rustres aux mains baladeuses, les clients jamais contents, le poids des plateaux chargés de verres, la joie d’aller nettoyer les toilettes après que quelqu’un ait été malade. Et, bien sûr, son père la traitait comme tout autre employée, sans traitement de faveur ou encouragements. Qu’à cela ne tienne, Yuri serait la maîtresse de son propre destin et le forcerait à la remarquer. Il y avait quelques années déjà que la bicolore pratiquait la musique et, par conséquent, elle s’estima prête à faire le grand pas. Un beau soir, elle se joignit aux musiciens pour animer la fête. Heureusement, ce fut un succès retentissant. Ce soir-là, son père la complimenta, l’encourageant à poursuivre cette voie et l’autorisant à déposer son tablier pour jouer plus souvent. Yuri était aux anges. Enfin ! Seul bémol : son instinct lui disait de ne pas se réjouir trop vite. Ignorant cette mauvaise impression, Yuri continua sur sa lancée, apprenant même à jouer d’autres instruments au passage, en compagnie des musiciens. Son père était heureux de la voir jouer, avait commencé à la saluer et l’encourageait parfois. C’est tout ce dont elle avait toujours rêvé. C’était bien peu, certes, mais pour un long moment ce fut suffisant.

Elle avait 19 ans lorsque le barman tomba malade. Celui qui, durant toutes ces années, avait véritablement cherché à prendre soin d’elle, à l’éduquer. Celui qui avait encouragé les autres à lui offrir son instrument. Yuri en fut dévastée. Malheureusement, le propriétaire des lieux était autrement plus froid, râlant qu’il allait devoir galérer à trouver un remplaçant. Après plus de vingt ans de bons et loyaux services, c’est tout ce qu’il trouvait à dire. Cela fit changer quelque chose en Yuri qui, soudainement, se demandait pourquoi elle avait tant cherché l’approbation et l’affection de cet être abjecte. Elle refusa de se présenter au travail, préférant rester au chevet du barman. La bicolore était perdue, ne sachant plus que faire de sa vie sinon être présente pour celui qui l’avait été pour elle durant toutes ces années. Bien sûr, c’est lui qui, malgré sa condition, se mit en tête de la remettre sur le droit chemin. Honnête, il lui avoua que son père ne se souciait pas d’elle, qu’il était seulement intéressé par les profits engendrés par ses performances musicales. Profits dont elle ne recevait qu’une infime part. Selon lui, rester ici était une perte de temps, ces efforts pour s’attirer l’attention de son père étaient une perte de temps. Et force était d’avouer qu’elle était bien d’accord, mais qu’elle ignorait que faire d’autre.

Serrant sa main dans les siennes, le vieil homme lui suggéra de voyager, de découvrir Majoris et d’y trouver une nouvelle voie. Elle avait sa bénédiction et, surtout, il était fier d’elle. Après maintes larmes et des au revoir difficiles, Yuri fit ses bagages et quitta la ville, sans même avoir prévenu celui qu’elle avait cherché à impressionner toutes ces années. À la place, elle promit d’écrire au vieux barman dès qu’elle le pourrait, pour le tenir au courant et prendre de ses nouvelles. Découvrir la capitale fut un choc, mais rien que Yuri ne puisse pas gérer. Elle était curieuse, enjouée et excitée à l’idée de débuter cette nouvelle vie. Les premiers temps, la bicolore gagna son pain comme elle avait pris l’habitude de le faire, par la musique. Néanmoins, un désir inarticulé et profond la poussait à chercher plus, à vouloir accomplir plus. Mais quoi ? Elle ne le savait pas trop, jusqu’à entendre parler des explorateurs. Yuri pris la décision de les intégrer, mais frappa bien vite un os : jamais on ne lui avait apprit à se défendre. La seule autre option ? Obtenir un gardien.

Elle sacrifia la moitié de sa vie pour éveiller Spinel. Elle était son ticket vers une nouvelle existence. Maintenant qu’elle était une mage, ils n’avaient aucune raison de refuser son adhésion. Et nous voilà, cinq ans plus tard. Yuri a bien changé depuis, ayant troqué son archet pour une paire d’épées courtes. Elle a enfin l’impression de faire quelque chose d’important, de faire quelque chose d’intéressant, qui sorte des sentiers battus. Fini la vie quotidienne et répétitive. Yuri n’a que faire de la foi, de ce que pensent les gens. Elle en fait même pas ça en quête de savoir. Elle le fait seulement parce qu’elle le peut et que ça la fait se sentir vivante.

anecdotes
Yuri sait jouer du violon, du violoncelle et du piano — Elle a déjà voulu s'essayer au chant, mais sonne comme une casserole — Yuri aimerait visiter tout Caelum — La bicolore aime beaucoup manger et dormir — Ses couleurs préférées sont le noir et le rouge — Yuri a déjà eu un petit copain, ce qui l'a aidée à réaliser son orientation — Elle n'a toutefois encore jamais eu de petite copine et deviendrait très timide en présence d'une demoiselle qui lui plairait — Yuri a prit l'habitude de se battre avec deux épées courtes — Elle sait aussi manier des dagues, des couteaux de lancé et des lames plus longues — Yuri n'est guère féminine et n'hésite pas à roter devant les gens après un bon repas — Yuri et Spinel adorent toutes les deux le poisson cru, ce qui peut parfois les amener à se chamailler pour savoir qui aura le dernier morceau de saumon — Lorsqu'elles sont seules toutes les deux ou que Yuri est particulièrement tendue, Spinel aime s'allonger près de Yuri et lui demander des gratouilles en ronronnant — Spinel lèche parfois Yuri comme si elle était son chaton, pour l'inciter à aller se laver convenablement ou pour replacer ses cheveux — Yuri s'y connait en alcools et sait même préparer quelques drinks








Spinel
nom : spinel
pouvoir : gravité
arme : un long foulard rouge
sexe : féminin
genre : gros félin
âge : cinq ans
opinion : Elle s'est prise d'affection pour Yuri et semble la traiter tour à tour comme sa maîtresse et comme son chaton. Il lui arrive d'emprunter le rôle de l'adulte calme, mature et responsable qui s'inquiète pour son chaton et qui la met en garde contre le monde. Elle est la première à craindre que l'idéalisme et la gentillesse de Yuri se retournent contre elle. Mais, paradoxalement, Spinel respecte énormément les avis de la bicolore et se plie à son jugement, plaçant en elle toute sa confiance. Elle est également de bonne compagnie, partageant le même humour excentrique que son humaine, et il leur arrive donc de partager de très bons moments amicaux où les fous rires se succèdent sans mal.
maternelle — confiante — active — sociable

perfectionniste — cynique — impatiente — directe








derrière l'écran
Coucou ! J'aime pas trop me présenter alors on va rester à l'essentiel : j'aime les chats. (J'ai pas pu résister, mon gardien se devait d'être un gros félin.) Je suis canadienne, j'ai la dent sucrée et je vous ramène bientôt un autre joueur, de gré ou de force ! *rire démoniaque*






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We will either find a way or make one [100%], par Invité ► 28/7/2018, 04:04 ►
Coucou et désolé du double post ! C'est avec fierté que j'annonce avoir terminé ma présentation ! 8D
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We will either find a way or make one [100%], par Invité ► 28/7/2018, 23:18 ►
bienvenue ô jeune aventurier(e) !

hola camarade ! Je dois dire que je suis très fan de ton histoire. Elle est très originale et le caractère annonce des situations amusantes. Sinon il n'y a aucune incohérence et je suis ravi de voir une exploratrice en plus. On va bien finir par les découvrir les mystères d'en bas. è.é Je te valide ! Tu peux dès à présent recenser tes avatars (www), créer ta fiche de lien (www), et rechercher un rp (www) !

que l'aventure soit avec toi !



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