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« Il y a bien longtemps avant même que les gens n'habitent dans le ciel. Une guerre terrible éclata entre les hommes et une Déesse malfaisante. Après des combats sanglants, nos ancêtres aidés de Dieu scellèrent le pouvoir de cette Calamité. Puis quittèrent la terre souillée et stérile pour construire leur avenir dans le Ciel. »
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{ L'ombre et la lumière, le feu et la glace | Finito !
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L'ombre et la lumière, le feu et la glace | Finito !, par Invité ► 9/7/2018, 21:23 ►



Galehn Thundrearr
Nom : Thundrearr
Prénom : Galehn.
Âge : 29 ans.
Date de naissance : 16/11
Bénédiction : Flocon.
Orientation : Hétérosexuelle.
Région : Eriu.
Métier : Explorateur.

caractère
Galehn est quelqu’un d’assez renfermé sur lui-même. Cela lui vient sans doute de sa région natale, où la plupart des gens – dont ses parents – sont des gens très secrets et solitaires. Ces derniers,  à force de briser coup par coup les espoirs d’aventure de Galehn, en ont fait un garçon assez sceptique et pessimiste.

Galehn fait généralement une assez mauvaise impression : il ne sourit pas vraiment la plupart du temps, et avec son physique d’armoire à glace, il est assez loin d’inspirer la confiance. Si au début, tout cela lui était du à sa solitude à la campagne, où il ne rencontrait que très rarement de nouvelles personnes, il a vite compris qu’il valait mieux inspirer la crainte et le respect que la sympathie. Malgré tout, une fois qu’on le connaît, c’est quelqu’un de drôle – pour peu qu’on ne soit pas trop susceptible – de fidèle et de protecteur. Il l’est tout particulièrement avec son Gardien, Saya-kan.

histoire
Galehn a donc été élevé par un couple de fermiers qui étaient visiblement l’archétype de la population locale. Très peu bavards, se limitant au minimum syndical lors d’une discussion, le petit Galehn, lorsqu’il fut en âge de poser milles et une questions, s’abstint bien vite en voyant le peu de réponses qu’il obtenait. Aussi incroyable cela puisse t-il paraître, les parents blasés, solitaires et fermés de Galehn, avaient donné naissance à un petit être bouillonnant d’énergie, de curiosité et de soif d’aventure. Heureusement pour lui, autre chose, qui se trouvait pas très loin de chez lui, pouvait étancher sa soif de curiosité – ou au contraire, abreuver cette dernière. Lui et sa famille vivaient au bord de la gigantesque île sur laquelle tous les humains vivaient désormais (et du fait que ses parents étaient si terre-à-terre et si peu bavards, il n’avait malheureusement jamais eu vent de la légende concernant l’île). Si bien que, si l’on s’aventurait à peine plus loin que chez eux, on tombait sur le bord de l’île. Le petit Galehn avait l’habitude de s’aventurer dans ce coin-là, malgré le fait que ses parents lui avait formellement interdit.

C’était en fait devenu une sorte de rituel. Il venait très souvent là, et y demeurait pendant des heures, à fixer la lointaine terre ferme. Il rêvait d’aventure, de combat épique et de lieux magiques empreints de mystères. Il était bien loin d’imaginer le monde tel qu’il était réellement en bas, mais il avait tout de même conscience que du haut de son jeune âge, il était certain que s’il descendait, il ne tiendrait pas plus de dix minutes.

Rapidement, ce rituel qui durait depuis déjà des années, devint un calvaire. Il lui rappelait sans cesse la tristesse de sa condition. Lui qui était cloîtré ici, destiné à reprendre la ferme familiale. Qui passait des jours entiers à travailler, au milieu de ses deux parents toujours aussi antipathiques et silencieux. Il avait l’impression de ne pas être à sa place. Il avait le sentiment de n’être qu’une coquille vide, qui n’avait pas réellement d’utilité.

Et à chaque fois qu’il s’adonnait à son petit rituel, il songeait à combien de choses merveilleuses l’attendait au-delà de l’horizon. Puis il se retournait, revoyait les champs s’étaler devant lui, comme un chemin boueux déjà tout tracé. Il ne voulait pas de sa vie. Et visiblement, quelqu’un avait entendu son appel et avait décidé de faire en sortes qu’il ne finisse pas héritier d’un domaine agricole.

Un jour qu’il se promenait, en vue de s’adonner encore une fois à son petit rituel, il passe par un autre chemin que celui de d’habitude. Il s’enfonça dans un petit bois tout près de chez lui, mais dans lequel il n’avait jamais mis les pieds. Il ne savait pas vraiment quel courage animait le jeune adulte de dix-sept ans qu’il était. C’était sûrement sa curiosité maladive qui le poussait encore à emprunter des routes pavées de danger. Mais c’était aussi cette même curiosité maladive qui allait le mettre face à face avec ce qui allait devenir sa destinée. En quelques sortes.

Se perdant peu à peu à force de s’enfoncer dans le bois, il finit par tomber sur une clairière. Cet endroit était sans doute l’un des plus beaux que Galehn ait jamais vu – en même temps, il n’avait pas vu grand-chose dans sa courte vie, à part sa ferme, les champs de ses parents et le bout de l’île qui, outre la vue, n’avait rien d’exceptionnel. Là, au milieu de la clairière, éclairée par un rayon du soleil qui perçait à travers les feuilles des arbres, se trouvait une fleur. Mais pas n’importe quelle fleur des champs comme Galehn en déracinait des dizaines près des plantations de ses parents, non. C’était la plus belle des fleurs. Et à dire vrai, c’était tout simplement la plus belle des choses qu’il avait vu.

Le regard luisant, il s’approcha de la plante, la main tendue. Le problème avec Galehn, c’est qu’on ne lui avait jamais appris à s’occuper des belles choses. Il ne savait par exemple pas qu’il valait mieux observer les belles choses sans les toucher pour éviter de flétrir leur beauté. Il le comprit rapidement lorsqu’en effleurant la fleur, il ressentit une vive brûlure au bout du doigt. Mais l’adolescent n’était pas seulement assoiffé de savoir, il était aussi incroyablement têtu : aussi, il rapprocha de nouveau sa main après avoir soufflé dessus.

C’était toujours chaud, ça brûlait légèrement, mais beaucoup moins qu’au premier toucher. Il finit par entourer la tige de sa paume de main, et décida d’affronter la douleur de sa paume chauffée par cette étrange fleur. Il comprit son erreur lorsque dans sa tête, il entendit quelqu’un s’exprimer. C’était inintelligible, étrange. La voix ressemblait plus à un assemblage de sons, et rien de ce qu’elle disait n’était compréhensible. Galehn, comme tout adolescent de son âge, aurait dû penser que cette fleur avait quelque chose de vraiment bizarre, et la lâcher pour s’enfuir au courant. Mais contre toute attente, il continua à la tenir fermement, en essayant tout de même de ne pas l’arracher.

Au bout de quelques minutes, sa main ne le brûlait plus, comme si la fleur avait accepté son étreinte. Mais ce n’était pas le cas : cette fleur avait quelque chose de spécial, et Galehn l’avait bien senti. Et aussi bizarre cela puisse t-il paraître, la fleur semblait elle aussi avoir compris que l’humain qui la tenait avait quelque chose de spécial.

Les événements qui suivirent demeurent encore aujourd’hui très flous dans l’esprit de Galehn. Il se souvint simplement d’une sensation très étrange, comme si le sol s’était écroulé sous son corps, et qu’il s’était mis à tomber dans un gouffre sans fin. En même temps de chuter dans cette obscurité, il avait entendu une voix. Il ne comprenait rien de ce qu’elle disait, et pourtant, des mots très clairs lui parvenaient en tête. Comme s’il parvenait à traduire ce langage incompréhensible qui s’infiltrait dans son esprit.

Puissance. Ce mot seul éveilla tous les sens de Galehn. Sacrifice. Il frémit face à celui-ci. Pouvoir. Peur. Lien. Éternité. Force. Fragilité. Lien. Certains mots revenaient, comme pour montrer à quel point ils étaient plus importants que les autres. Puissance. Fragile. Pouvoir. Sacrifice. Pacte. Pacte. Pacte. Il avait l’impression que le monde autour de lui était en train de s’effondrer. Il n’avait plus aucune notion du temps ni de l’espace. Il comprenait juste que la personne ou la chose qui lui parlait lui faisait une offre. Et trop naïf qu’il était, encore bercé par ses rêves d’aventure, il formula sans vraiment trop savoir comment, un « oui ». Les mots résonnèrent encore une fois chacun. Puissance. Pouvoir. Force. Pacte. Sacrifice. Obscurité. Et sur ce dernier mot, il perdit connaissance.

Il reprit connaissance dans cette même clairière, sans savoir aucunement conscience de combien de temps s’était écoulé depuis qu’il s’était évanoui, et de ce qu’il s’était réellement passé. Mais il sut qu’il s’était passé quelque chose lorsqu’il se mit assis et regarda droit devant lui. Il n’était plus seul.

Face à lui, une femme. Elle avait des cheveux blonds clairs magnifiques, qui cascadaient le long de sa peau blanche porcelaine. Elle le regardait. Ses deux grands yeux bleus le perçait de toute part. Plus important encore, cette femme était quasiment nue. Le problème étant que ce qui l’habillait n’était pas des vêtements. Cela ressemblait à de la fumée noire tangible, qui se mouvait comme un serpent dans l’air. La jeune femme le fixait, sans un mot.

Et enfin, il eut une réaction plus que logique Il se releva à toute vitesse et se mit à courir en hurlant. La jeune femme le fixa s’éloigner sans même bouger d’un pouce. Et une fois qu’il eut disparut derrière les arbres, elle soupira, plongea sa tête dans ses bras, et disparut d’un coup dans le sol, comme si elle était passée à travers.

Galehn courait à en perdre haleine. Il n’avait sans doute jamais couru aussi vite. Il avait pris de l’avance, jamais cette étrange femme ne le rattraperait. Enfin, c’est ce qu’il pensa pendant encore trois enjambées. Il se figea lorsqu’il la vit sortir de derrière un arbre l’air de rien, face à lui.

« Qu’est-ce que tu fais ? »

Galehn était bien incapable de répondre à cette question. Il était pétrifié de peur. Comment est-ce que cette femme était arrivée jusque là avant lui ? Sans faire aucun bruit en courant ? Sans même être essoufflée ? Que voulait-elle ? Pourquoi était-elle à moitié nue et enveloppée d’une étrange brume noirâtre ?

« Bon... » reprit la jeune femme en s’approchant doucement de lui pour ne pas l’effrayer, avant de se pencher face à lui, « Tu vas mourir à 50 ans mon chéri. Je préfère te prévenir. »

Galehn eut immédiatement les larmes aux yeux. Il ne savait pas si c’était parce que cette femme était l’incarnation parfaite de la beauté telle qu’il l’imaginait ou si c’était à cause de ce qu’elle venait de dire.

« Mais en échange, je vais t’aider. »

Il releva la tête, comme surpris de cette soudaine révélation.

« C’est dans notre pacte. »

« Pacte ? » répéta t-il, faisant enfin entendre le son de sa voix à la jeune femme.

« Je t’ai volé… Enfin, tu m’as donné ton accord, pour que je prenne la moitié de ton espérance de vie. »

« Quand est-ce que j’ai dit oui à ça ?! » s’insurgea t-il, séchant presque immédiatement ses larmes et oubliant toute peur qui l’habitait il y avait encore à peine cinq minutes.

« Quand tu as entendu les mots force, puissance et pouvoir. »

Il se fit silencieux cette fois.

« On va rester ensemble à partir de maintenant. »

« Pourquoi ? » quémanda t-il, tout de même un peu inquiet.

« Pour que tu deviennes fort. » répondit t-elle calmement. « Et parce que c’est notre destin à partir de maintenant. »

« Je suis obligé ? »

Elle écarquilla les yeux, comme étonnée de cette soudaine question. Puis elle haussa les épaules en se redressant, prête à répondre.

« Le oui que tu as formulé face au pacte semblait si désespéré que je ne pensais pas que tu te sentirais prisonnier. »

Elle fit une pause, pour lever sa paume de main vers lui. Et sous les yeux brillants de Galehn apparut au creux de sa paume une petite flamme noirâtre, qui dansait selon le mouvement de ses doigts. Il sursauta lorsque la flamme vint se coller à sa peau jusqu’à s’y fondre, avant de s’emparer de toute sa main jusqu’à son poignet. C’était comme si elle portait un gant noir qui se mouvait tout seul, comme s’il était vivant. Puis elle fit disparaître le tout d’un coup.

« Dis-moi comment tu t’appelles au lieu de rester bêtement abasourdi. Je vois à ton regard que je t’ai convaincu que ma compagnie ne serait pas un fardeau visiblement. Et que tu me suivras sans rechigner. »

Galehn avait vaguement hésité à cet instant-là. Il avait beau être un adolescent naïf et curieux, il n’en était pas moins culotté. Aussi risqua t-il un :

« Seulement si tu promets de m’épouser. »

La jeune femme écarquilla les yeux et le dévisagea durant un long silence.

« Là maintenant tout de suite… ? »

« Non. Quand je serais grand. »

Elle fit mine de réfléchir à peine une seconde.

« C’est d’accord, mais seulement si tu deviens un très bel homme. Sinon, je ne garantis rien. »

Il se souvint s’être senti profondément offusqué par cette promesse qui n’en était pas une, mais oublia toute rancune lorsqu’elle se pencha sur lui avec un grand sourire.

« Je m’appelle Saya-kan, mais tu peux m’appeler Saya. Et toi ? »

Et tout en se noyant dans ses grands yeux bleus, il lui répondit simplement :

« Galehn. »


Aussi ridicule sa proposition avait-elle semblé ses deux-là ressemblèrent rapidement à un petit couple, en ce qui concernait leur complicité. Après le départ de la maison familiale au beau milieu de la nuit qui suivit le lendemain de leur rencontre – et ce départ se fit sans regret de la part de Galehn, qui laissa à ses parents une simple lettre d’adieu – ils commencèrent à arpenter les différentes régions, à la recherche d’aventure. Ils en apprenaient un peu plus l’un sur l’autre chaque jour. Saya-kan faisait démonstration de ses pouvoirs et Galehn s’illustrait dans une autre catégorie, dans laquelle il s’avéra d’ailleurs très doué : l’escrime. Ils firent rapidement un autre pacte : celui de s’apprendre mutuellement leurs domaines d’excellence.

Galehn finit par parler à Saya de ses rêves d’aventure dans le monde qui s’étalait sous l’île sur laquelle ils vivaient. Et là où Galehn, habitué aux remarques coupantes de ses parents à ce sujet, s’attendait à ce qu’on se moque de lui, il ne rencontra qu’encouragement et soutien de la part de sa compagne.

Et à force d’entraînement, ils tentèrent leur première exploration, qui se déroula sans accrocs. Comme Galehn le pensait, le monde sous leurs pieds était incroyablement vaste, et semblait regorger de mystères. Il finit par en faire sa vocation, entraînant avec lui sa compagne de toujours, qui, pour le charrier, lui répondait toujours que non, elle ne le suivait pas par affection ou par choix, mais bien parce qu’elle ne pouvait pas faire autrement. Mais ce n’était pas vraiment pour lui déplaire.

anecdotes
Excellent escrimeur – Bonne connaissance des plantes - Pas très bavard sauf avec son Gardien - Sens du sacrifice - Presque pas d'appétit - Adore se baigner - Il a une cicatrice sur la hanche - Il possède une force physique un peu plus élevée que la moyenne, du fait de son gabarit - Il se débrouille également en combat au corps-à-corps avec pour seules armes ses poings et ses pieds - Il adore se moquer, c'est plus fort que lui - Il adore également le silence et les bruits de la nature - Il n'aime pas du tout parler de sa famille -








Saya-kan
Nom :Saya-kan
Pouvoir : Ombre.
Arme : Une épée.
Sexe : Féminin.
Genre : D’apparence humaine, elle peut aussi prendre la forme d’une silhouette sombre grâce à son pouvoir, comme une véritable ombre.
Âge : Elle ressemble à une jeune femme de 26 ans, en a le mental et l’apparence, mais elle est en réalité beaucoup plus jeune : elle a environ 12 ans.
Opinion : Malgré le fait qu’ils se chamaillent assez souvent et qu’ils ne  cessent de se balancer des piques au visage, le lien qui les lie est très fort : il n’y aurait pas de meilleur dicton pour les décrire que le simplissime « qui aime bien châtie bien ». Même si le concept leur est assez flou du fait qu’ils sont un humain et un gardien, on peut les considérer comme un couple du fait de leurs sentiments très forts l’un envers l’autre.
Fidèle — Déterminée — Empathique — Affectueuse

Sarcastique — Têtue — Susceptible — Colérique








derrière l'écran
Hola chicas, je suis une femme majeure et vaccinée qui RP depuis déjà 7 ans ! J'adore la mozzarella, les framboises, la saga du Sorceleur et The Witcher 3, les mangas dont je vous épargnerais une liste exhaustive longue comme mon bras, être salée sur différents jeux de type vidéoludique... J'aime bien utiliser un crayon pour gribouiller des trucs aussi, le graphisme et moi on est copains, et plus important encore : j'adore manger c'est ma véritable passion :v de fait, je crois que je n'ai même pas besoin de répondre à votre question sur les cookies parce que la réponse est évideeenteeee






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L'ombre et la lumière, le feu et la glace | Finito !, par Invité ► 12/7/2018, 12:31 ►
Jay fini ma fiche ! :v
Gear
Gear

L'ombre et la lumière, le feu et la glace | Finito !, par Gear ► 12/7/2018, 21:22 ►
bienvenue ô jeune aventurier(e) !

Hola camarade ! Pour commencer je dois dire que ça me fait beaucoup rire car ta gardienne ressemble beaucoup à celle de Claus, ça me fait rire. Hs passé, nous voilà avec un explorateur je suis aux anges, il est charismatique avec un caractère un brin compliqué mais nous ferons avec ahaa. Sinon petit détail, je vois ce que tu veux dire en lisant mais faire attention avec le coup de la flamme noire. Le terme flamme ne convient pas vraiment, fumée ou forme mais le rendu fait plus feu que ombre so be careful là dessus. Je te valide ! Tu peux dès à présent recenser tes avatars (www), créer ta fiche de lien (www), et rechercher un Rp (www) !

Que l'aventure soit avec toi !



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