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« Il y a bien longtemps avant même que les gens n'habitent dans le ciel. Une guerre terrible éclata entre les hommes et une Déesse malfaisante. Après des combats sanglants, nos ancêtres aidés de Dieu scellèrent le pouvoir de cette Calamité. Puis quittèrent la terre souillée et stérile pour construire leur avenir dans le Ciel. »
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{ Elle a éclos dans la neige, et, très tôt, elle a parlé d'amour ❖ Neptune
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Elle a éclos dans la neige, et, très tôt, elle a parlé d'amour ❖ Neptune, par Invité ► 1/6/2018, 18:06 ►
Neptune, Neptune
Fille de fragilité exquise comme l’on le pense, elle se plait à maintenir l’illusion, conserver le secret de cette peau diaphane et de cette bouche qui l’est toute autant ; épanouie dans son rôle de princesse qu’elle ne contredira pas, amusement à donner des ordres qu’elle veut tant agréables que magnanimes ; bonne, dira-t-on, sans qu’on puisse définir en quoi exactement ; belle, tout autant, alors que l’adolescence se veut tardive. Dirigeante-née aux hanches plates, conçue non pour enfanter mais pour régner.

Neptune, elle ne se saisit pas. Ne se capture pas.
Peu importe les jeux politiques desquels elle fait pourtant grand fit, peu importe cette mode qu’elle respecte à la lettre pendant les galas et qu’elle nie si fort en dehors. Peu importe ce paradoxe parfois cruel dans ses gestes, impossible à connaître sinon par la pratique des années, si droite depuis sa naissance, inflexible ;
À chaque situation son geste.
Parfois si différente dans deux évènements si similaires ;
Séparés par des joyaux dont elle imagine la couronne.

Neptune, elle fascine autant qu’elle n’agace.
Grande et légère, effrayée et audacieuse, tout à tour princesse et fille du peuple, docile ou belliqueuse. Sarcastique par rapport au monde et pourtant d’une infinie douceur. Elle s’essaie à la cigarette puis parle d’étoiles et de politique, lie parfois les deux, évoque la fragilité de la mer, s’éprend à tomber et se redresse avant qu’on ne la regarde s’envoler ; se plaît à savoir ce qu’elle devrait ignorer ; se façonne l’image d’une enfant généreuse, quand elle noue ses mèches blanches en chignons lâches et qu’elle s’impose aux basses ruelles de Majoris, si lointaine de la droiture méprisante que sa famille lui voudrait ;
Parce qu’elle aime vivre comme ça, Neptune.
S’éprendre là où on ne la regarde pas. Éclore dans le sens contraire.
Trop fragile pour vivre et trop vivante pour mourir.

Et finalement Neptune elle pourrait paraître comme une jeune fille un peu gracile, une coquetterie à laquelle on accorde encore les grâces de l’enfance, mais certains savent – se le murmurent entre eux parfois, qu’elle n’est pas si innocente ;
qu’elle sait se défendre ;
que de la couronne elle en est la juste héritière.

Fascinée des armes et des arts martiaux derrière ses airs indolents, elle dénude parfois robes et jupons pour préférer le confort d’une tenue traditionnelle, les mains pressées sur la garde en un appel qu’elle ressent depuis son plus jeune âge ; proche de ses maîtres plus que de ses parents malgré son ascendance familiale, du silence plus que des musiques de la cour ; du tatami dont elle grave la désinvolture chaque matin, chaque soir, dans ses bras couverts de bleus qu’elle farde à la convenance de ses servantes mais qu’elle laisse plus souvent à nus, comme pour s’affirmer;
Elle est forte. Inflexible. Presque égoïste.
Que les cauchemars ne sont que visions,
Possibilités d’avenirs dont elle ne s’accommodera pas.

Alors Neptune elle est toujours là avec ce petit air innocent au creux des lèvres, ces rires spontanés qui fusent sur sa bouche, dans sa gorge ; se laisse le temps de grandir et de danser ; et, lorsque ses parents lui proscrivent la valse, elle se découvre alors dans l’errance. Destin poétique d’un oiseau sans aile qui s’était promis de les dessiner par lui-même.

Alors elle s’envole,
Toujours nulle part,
Et si présente à la fois.

(Jeune xxx Fascinante xxx Charismatique, malgré sa taille xxx Digne xxx Candide et mature à la fois xxx Paradoxale xxx Insaisissable xxx Difficile à anticiper, à moins qu’on ne la connaisse par cœur xxx Agaçante xxx Libre xxx Travailleuse xxx Obstinée xxx Têtue xxx Un peu paresseuse pour les choses qu’elle déteste xxx Adore les jeux politiques xxx Se met dans une colère froide quand on l’irrite (fuyez) xxx Douce xxx Sensible xxx Généreuse xxx Discrète xxx Aime à se faire passer pour une jeune fille fragile xxx Ne l’est en fait pas du tout xxx Rit beaucoup xxx Très curieuse xxx Trop curieuse xxx Adore tout savoir et fouiller dans des affaires qui ne la concernent pas xxx Notamment celles de son frère xxx Sait bâcher des gens en toute politesse xxx Un peu manipulatrice, mais uniquement pour les farces xxx Autoritaire xxx Mesurée xxx Juste xxx Émotive xxx Impulsive mais paradoxalement très calme xxx Contestataire xxx Intelligente xxx Très douée pour les sourires innocents xxx N’est absolument pas innocente pour autant.)

CADENCE.
Eurythmie fragile, intangible,
Crépuscule matinal. Confusion du possible.
Neptune ouvre les yeux puis découvre les cieux.


ESTAMPE.
De ces couleurs qui restent timides, éclosion dans le rosaire de nuances découpées comme du verre, de pétales entrelacées – l’enfant navigue dans la vie comme elle navigue en son palais. Aisance de celle qui ne se veut ni belle ni désirable – elle l’est déjà. Gamine solaire, elle porte ses rires hauts dans le ciel puis tambourine, valse et tremble jusqu’à ce qu’un parfum d’écume vienne enfin calmer ses peines dansantes. Rythmique humble mais affolante, fardée de simplicité, avec laquelle elle vit sans détour – les notes sont rondes comme le ventre d’un piano quand elle se lasse sans retour. Neptune s’élance, fleurit ses lèvres avec des roses parce qu’elle n’a pas le temps de cultiver les acacias, attrape un à un les baisers qui rodent sur ses lèvres puis les déplie et laisse éclore les camélias.

FASCINANTE.
Dans le juste milieu entre la candeur et la naïveté, toujours assise sur le rebord de sa fenêtre pour s’émécher du soir : Neptune est insaisissable. Sourire brûlant mais pas tout à fait calcinant. Chaleureuse. Peut-être croit-elle, espère-t-elle, que les morts vivent dans les cieux et que les étoiles porteront ses rêves jusqu’à eux ; douce poétesse à ses heures, elle ne répond plus aux suppliques – aux besoins – de ses adorateurs quand elle descend dans le jardin et qu’elle dépose, sur la tombe de sa mère, des nuées de bleuet et des couronnes de lauriers.

DÉSIRÉE.
Couleurs de miel le jour de sa naissance, Neptune était née dans le mouvement d’une fin de ciel, avait gardé pour elle toutes les couleurs de l’été – l’orage balayait les corneilles, lui avait-on assuré. Si blonde qu’elle paraissait blanche, ses iris avaient conservé des aquarelles bleues ou des cascades de roses trop franches. Dès son plus jeune âge, elle était pudique. Poétique. En décalage, et pourtant si conforme à cette image que tous répétaient à voix basse. Une jeune fille fragile, la sœur d’une future idylle. Et Neptune se confortait à ce rôle, n’en demandait rien de plus ; en dépassait pourtant de toute part, belle et expressive, naturellement insensible à son rôle ou à ses coutumes excessives. Jamais la jeune fille n’avait appris la dignité ; elle portait la grâce avec équité, comme si son naturel l’avait dotée d’un trop plein de douceur et de sensibilité. Une majesté innée qu’elle paraissait avoir hérité de sa mère, mais qui l’éloignait en même temps de son père – entre elles deux, elles étaient reines et ne souffraient jamais de l’absence des rois. Dualité entre la sœur et le frère. Entre l’amour et la foi.

IMPORTANTE.
Image essentielle et avide d’une scène politique dont elle était la tangente.  Sœur de quatorze années cadette d’un frère qui deviendrait plus tard, comme leur père avant eux, le général des armées ; enfant inespérée d’une mère qui avait manqué de succomber à sa première grossesse et que la deuxième avait fragilisée. Elle s’appelait Maru, disait-on. Se passionnerait elle aussi pour les armes de sa famille, murmurait-on.  Et aux larmes de l’enfance la jeune femme avait bientôt préféré la chaleur des dagues, de ce poids posé au creux de sa main quand on l’entrainait en prévision du lendemain. Paradoxale. Belle et abyssale. Rebelle et calme à la fois. Bientôt elle se découvrit douée, ne cessait plus de s’entrainer ; comme si la sueur de son corps, et les bleues sur ses poignets, construisaient peu à peu la femme à laquelle elle se destinait. Un fragment d’âme qu’elle découvrait comme les autres, entre ses vœux de poètes et sa sensibilité exacerbée – des gestes de divinité. Parfois si étrange, si discrète, qu’on doutait qu’elle puisse vraiment appartenir à ce monde.

CONTRADICTOIRE.
Neptune était discrète, élégante. Extravagante. Silencieuse sur son tatami, on la croyait effrayée par le son de ses pas lorsqu’elle était enfant ; elle n’osait pas dire que son ombre ne l’apeurait pas tant que le fracas des absents. Cet infini monde qu’elle contemplait depuis ses persiennes, haute dans le ciel, si lointaine d’un peuple qu’elle ne connaissait pas et ne se pensait pas destinée à connaître. Elle paraissait malade, s’offrait calmement à renaitre ; si pâle qu’on la soupçonnait enfant de la lune, alors que même que ses rires, clairs et expressifs, rappelaient à la douceur des dunes. Alors on l’avait voulue mage pour qu’elle se fasse moins fragile, lui avait offert des éarendils jusqu’à ce qu’elle découvre Elypse ; une louve de laquelle elle s’était rapidement énamourée, quand bien même son gardien – et son frère –  la rejetaient. Sanctifiée. Coupable de s’être éveillée.

ENDEUILLEE.
Le vêtement de deuil avait fleuri ses épaules quand elle avait sept ans, avait quelques mois terni ses rêves d’enfant. Ce fut d’abord une quinte de toux sur les lèvres de sa mère – le modèle de Neptune, qu’elle suivait un peu trop souvent dans les couleurs –, puis des amarantes qui s’accrochèrent à ses rêves. Fleurirent sur ses poignets, amarantes aux lueurs de la peur, puis remontèrent sur ses épaules pour atteindre le cœur. Une maladie de peau encore peu connue qui avait ravi la mère de l’enfant dans le secret, une chambre close dont elle n’avait pas pu s’approcher parce qu’on craignait qu’elle ne soit blessée – seules les cendres, ensuite dispersées dans le jardin familial, avait raccrochées l’enfant au souvenir de son parfum de lilas, et le collier d’ambre mat qu’elle n’avait cessé de porter depuis qu’elle s’était avancée au-dessus de la tombe pour y planter un acacia.

PEU À PEU,
ELLE GRANDIT.
Péniblement tout d’abord ; parce que sa mère était son repère, qu’elle n’était soutenue ni par son gardien ni par son frère. Rancunière, un instant, parce qu’elle n’avait pas pu user de son pouvoir pour sauver celle qui était royaume, la main qui soignait ses hématomes. Pourtant elle avait grandi. Ce fut Elypse qui, un instant touchée par la mélancolie fatiguée de ses traits, s’attarda un soir au pied du lit et l’avait consolée jusqu’à ce qu’elle s’endormisse ; puis s’égara enfin à la suivre, ombre blanche pour laquelle elle devenait peu à peu indispensable, indissociable. Idiographique lorsque drapée de mort, l’enfant se fait gracieuse et audacieuse. Souvent nue mais toujours parée de cette grâce exquise qui leur ferait dire « tu es belle quand tu pleures », jamais elle ne laissait les larmes s’échapper ; celles-ci étaient un trésor de sa poitrine et elle les porte gravées – conservées – dans le collier d’ambre en son cœur. Et peu à peu Neptune atteint sa dixième puis sa quinzième année ; retrouve cette grâce d’antan, quand elle se réconcilie avec son frère puis son père ; garde cette candeur d’enfant, jusqu’à ce que ses mains se jugent sur une lame et qu’elle croise le fer avec ses maitres d’armes. Apaisée. Belle. Élégante gamine, étonnante adulte.

Et parfois, lorsque l’on la surprend à se trouver triste, elle répond que le ciel n’est plus assez bleu pour les vivants, et qu’elle souhaiterait, un jour, le colorier aux jades du printemps.


Parce qu’elle est fille, parce qu’elle est sœur,
Parce qu’elle est mage.
Et quand Enyo devint général,
Elle se fait lumière dans l’ombre de son frère.
Jusqu’à un jour se glisser à ses côtés
Et lui murmurer sans qu’il ne la rejette ;

« Partons, Partons,
La mer est belle. »

Elle est fascinée par les oiseaux (elle a une collection de plumes) et par les étoiles (elle a une collection de portraits) xxx Les cheveux si blonds qu’ils paraissent blancs, on l’a cru longtemps atteinte d’albinisme xxx Elle craint tout de même le soleil et sort souvent couverte, voire avec des lunettes de soleil xxx Elle a essayé exactement 34 eärendils avant de convoquer Elypse xxx Le vrai nom d’Elypse est « La Dame Blanche », mais Neptune ne l’utilise jamais xxx Elle adore les coiffes avec des plumes, les vêtements verts et les kimonos d’entrainement xxx Neptune s’amuse de son apparence fragile pour surprendre ses adversaires xxx Elypse parvient parfois à la canaliser en lui donnant des jeux de réflexion xxx La jeune fille adore arrive dans le dos des gens et les surprendre xxx Elle peut marcher à côté de vous sans que vous ne la remarquiez xxx Voire vous effleurer xxx À la réflexion, elle ferait une très bonne voleuse si cela l’intéressait xxx Passionnée par les armes, préfère les lames longues et fines ou les petits coutelas de lancer xxx Instinctivement très douée dans les arts martiaux xxx Plus dans l’auto-défense que dans l’attaque, cependant xxx S’intéresse au médical et au corps humain depuis qu’elle a éveillé Elypse, au grand damn de ses parents xxx Et de son frère xxx Porte toujours un point d’honneur à toujours être au courant des secrets d’Enyo par ailleurs, quitte à être réprimandée xxx Fait toujours en sorte d'être au courant de tout ce qui concerne la politique, de toute façon. xxx Entretient d’ailleurs une rivalité assez forte avec Enyo, puisqu’il se méfie des mages xxx Rivalité toutefois souvent complice xxx Songe parfois à quitter sa famille pour devenir exploratrice, de manière plus ou moins avouée xxx Elle se prépare cependant davantage à diriger la famille à la mort de son père xxx Assez naïve quand on y pense xxx Connait très peu le monde extérieur xxx Aime bien dormir contre Elypse comme si elle était un oreiller géant xxx Ce qu’Elypse détestait tout d’abord mais a fini par accepter xxx Sort souvent du palais, dans les rues de Majoris, pour aider des pauvres ou des associations. xxx Elle préfère user de son prestige pour les aider plutôt que de se salir les mains, parce qu’elle trouve ça plus efficace.
Nom xxx La Dame Blanche selon elle, Elypse selon Neptune.
Pouvoir xxx Soin.
Arme xxx Une petite pierre encastrée sur la paume de sa main droite (ce sera douloureux, oui), de laquelle elle peut tirer du sable pour soigner des blessés.
Sexe xxx Féminin.
Genre xxx Une louve à l’apparence mystique, avec des runes rouges dessinées sur le visage et sur les pattes. De légères flammes peuvent parfois apparaître sur son dos sans la brûler.
Âge xxx Âge : 11 ans.
Opinion xxx La relation entre Elypse et Neptune fut compliquée lorsqu’elles étaient enfant. Louve sérieuse et morone, Elypse s’accommodait mal du caractère bien plus extraverti de Neptune ; jusqu’à la septième année de la jeune fille, la Dame Blanche quittait parfois la demeure familiale pendant plusieurs semaines, parfois mois, et refusait de suivre sa liée – éprouvait également de la rancœur pour être bloquée dans un corps animal et non humanoïde. Après la mort de la mère de Neptune, leur relation s’est renforcée, Elypse devenant peu à peu plus protectrice et maternelle envers une jeune fille qu’elle avait découvert plus fragile. Aujourd’hui, les deux possèdent la réputation d’être inséparables… Et sacrément terrifiantes lorsqu’elles se mettent d’accord sur le même sujet.

(Maternelle et protectrice (envers Neptune) xxx Peu bavarde xxx Sarcastique xxx Discrète xxx Agile xxx Pragmatique xxx Grand sens des priorités xxx Forte xxx Digne xxx Orgueilleuse xxx Se fiche de la politique mais souhaite pousser Neptune à la plus haute place possible xxx Solitaire xxx Egocentrique, profite de la vie quand elle le peut xxx Aime réveiller la demeure familiale en plein milieu de la nuit xxx N’hésite pas une seconde à montrer les crocs xxx Ou à mordre xxx A une réputation assez terrifiante.)
Bonjour, j'ai craqué parce que je suis faible.
Du coup Neptune c'est mon nouveau bébé (le troisième)(Aled) et j'espère qu'il vous plaira parce que je l'aime fort d'amour ;; pour le référencement des avatars ça va être le bordel parce que j'ai pris des ocs de partout et que j'sais pas comment faire. Claus jtm.
J'ai pas pu m'empêcher de coder une fiche parce que j'voulais vraiment lui donner un univers graphique mais j'ai essayé de coller au forum donc j'espère que je me ferais pas taper (sinon je remets la fiche de base si ça dérange)
luvluv.


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Elle a éclos dans la neige, et, très tôt, elle a parlé d'amour ❖ Neptune, par Invité ► 1/6/2018, 18:27 ►
Re re bienvenue.
J'aime énormément le style de ta fiche et surtout ton gardien. (ama quoi ♪ la "dame" d'Issun ♥️)
Ton personnage intrigue pas mal et me donne envie de venir proposer un petit rp ^^
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Elle a éclos dans la neige, et, très tôt, elle a parlé d'amour ❖ Neptune, par Invité ► 2/6/2018, 09:29 ►
bienvenue ô jeune aventurier(e) !

Hola camarade ! Bon je ne vais pas commenter le code que je trouve vraiment merveilleux ! Je te hais d'ailleurs mais bon, enfin voilà ahaa. Sinon Neptune est vraiment très cool. J'aime le rendu que tu nous donnes avec la fiche dans son ensemble, elle est vraiment sympas à tel point qu'au fil de la lecture je me voyais déjà te demander un lien. Bref, j'aime le concept, je valide la petite demoiselle ! Tu peux dès à présent recenser tes avatars (www), créer ta fiche de lien (www), et rechercher un Rp (www) !

Que l'aventure soit avec toi !



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