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nom ▶ Ogereau
prénom ▶ Ephrem
surnom ▶
age ▶ 19 ans + date (12/10)
orientation ▶ Hétérosexuel
occupation ▶ Soldat.
région ▶ Majoris
Il a un faible pour ce qui est sucré - Il a rejoint l'armée de Majoris a 16 ans - Il la prend un peu comme une seconde famille - Enfant, il suivait sa mère partout où elle allait - Elle est décédée lorsqu'il avait 9 ans - D'ailleurs, il lui ressemble physiquement - Il ne peut s'empêcher d'aider son prochain - Il a espoir en l'humanité - Il espère qu'un jour descendre sur terre soit possible .
caractère"L'Humanité est vouée au progrès à perpétuité"
Ephrem est un idéaliste. Il croit en l'humanité et pense qu'en s'unissant, les humains ne pourront qu'aller de l'avant. C'est pour cette raison que la politique l'intéresse peu, bien que son rôle de soldat implique de partiellement se soumettre à ce jeu. S'il a choisi ce métier, c'est pour aider et protéger ce en quoi il croit. Il donne de son temps aux autres quand il les trouve dans le besoin, et il en tire une satisfaction et un sentiment d'utilité vis-à-vis de la société.
C'est la raison pour laquelle il se montre généreux et serviable envers autrui. Ces traits de caractère font de lui quelqu'un d'assez naïf, qui va prendre le temps de connaître la personne avant de se rendre compte que cette dernière n'est peut-être pas un individu de bonne fréquentation, voir même de confiance. Il estime cependant que l'erreur est humaine, et que l'on peut bien se tromper avant de revenir sur une route plus droite.
Le jeune homme laisse plus souvent ses sentiments s'exprimer, au détriment de la raison. Cela lui fait défaut notamment à l'égard de la justice et des règles, notamment quand il estime que la loi peut parfois ne pas avoir raison. C'est dans ces conditions qu'il lui arrive d'hésiter entre légalité et légitimité, ce qui lui attire souvent des problèmes.
Emporté par ses sentiments, il peut se montrer émotif et abandonner la raison. Que cela soit de la colère, de la tristesse ou de la joie, il peut s'exprimer sans filtre quand il laisse ses sentiments prendre le dessus.
histoire"L'espoir est le pilier du Monde"
Ephrem est né et a grandi à Caelfall, entouré de ses parents. Depuis sa plus tendre enfance, c'était sur eux qu'il avait pris exemple. Son père, instituteur dans une école élémentaire de la capitale, se montrait patient envers les enfants, et leur inculquer les connaissances et les bonnes valeurs. Sa mère était livreuse, et veillait à ce que les citoyens de la ville reçoivent lettres et colis. Bien que leurs métiers étaient relativement différents, tous deux participaient à la vie de la capitale et contribuaient au bien être de ses habitants.
S'il aimait son père, le garçon avait un attachement particulier avec sa mère. Il l'accompagnait souvent, son gardien et elle, lors de ses tournées à travers la capitale. Il lui arrivait parfois de même quitter la ville pour distribuer dans les petites villes l'entourant. A ces moments là, sa mère préférait le laisser à Caelfall, ce qui ennuyait l'enfant. C'était avec elle qu'il avait le plus de points communs, à commencer par ce côté rêveur. Ensemble, il leur arrivait de consulter des livres d'histoires, particulièrement ceux relatant de la vie sur terre, avant que l'humanité ne vive dans les cieux, en essayant d'imaginer ce qu'était la vie sur terre. Son père ne partageait pas les mêmes idées, pensait même que cela n'était pas utile : si l'humanité avait quitté le monde d'en bas, c'était pour évoluer dans les cieux.
Cette complicité constituait une grande partie de son enfance. Mais le temps s'écoulait, et la vie d'un mage n'était pas aussi longue que celle d'un homme ordinaire. Un jour, sa mère disparut, et son père lui annonça sa mort. Il avait perdu un ancrage, et Ephrem s'en était retrouvé déboussolé. Il avait passé une bonne partie de son adolescence à se poser des questions sur la vie, et la mort. Seul, il avait continué de se documenter sur la vie sur terre, de rêver comme l'aurait souhaité sa mère. Il avait compris que la vie était bien courte, et qu'il fallait la passer dans une cause qui lui tenait à coeur.
Il avait fini par choisir de se joindre à l'armée de sa nation, dans l'espoir de se rendre utile à l'humanité, comme l'avait fait sa mère et continuait de le faire son père. D'abord recrue, maintenant soldat, il espère à son tour aider l'humanité.